Du mauvais usage de la BNF François-Mitterand et de sa relation avec la modeste présence du français sur le web, aggravée par les modes de travail de l’intelligence artificielle.
Ce qui est dommage c'est que la BNF a les moyens d'exister sur le web, en dehors des numérisations (qu'elle accompli par ailleurs). Elle dispose d'une armée de spécialistes pointus qui écrivent beaucoup mais qui ont peu de visibilité.
Ce qui est dommage c'est que la BNF a les moyens d'exister sur le web, en dehors des numérisations (qu'elle accompli par ailleurs). Elle dispose d'une armée de spécialistes pointus qui écrivent beaucoup mais qui ont peu de visibilité.
Thomas Mahier, et non pas Thomas Meyer (trois fois dans l’article) 😌
Merci Eric, je corrige immédiatement sur le site.